Au tour de l’angoisse.

Celui qui est dans un état d’angoisse, sans une véritable raison, doit avoir confiance en dieu et obéir à ses lois., afin d’être soutenu par les bienfaiteurs de la vie supérieure. Par tout il y a des lignes de comportement, à respecter vu les urgences des jours qui passent, en attente de notre compréhension.

Nombreux sont ceux qui, dans la situation de désincarnés, pensent ne pas avoir à obéir aux statuts spirituels de la divinité ; ceux-ci se trompent puisque les lois s’appliquent partout et à tous. Dans de nombreux cas que l’on jugent comme étant des malheurs, sont en vérité, des opportunités de rédemption pour l’âme, en lui donnant la possibilité de se libérer, au moyen de la mésaventure passagère.

Il n’y a une seule douleur qui ne soit pas une leçon de valeur dans l’éducation des âmes et d’embellissement de leurs sentiments, cette nécessité nous fait souffrir, à cause de l’absence d’amour. Face aux infortunes qui se succèdent sue les chemins, il convient de ne pas se montrer indolent, mais de travailler à se améliorer sur la voie de la perfection, cherchant dans l’Evangile la conduite exemplaire du Christ sur le chemin de la Divinité.

Oubliez les angoisses qui surgiront dans votre cœur, activez la joie et le travail en faisant le bien. La charité libère les chemins des sentiments tombés dans l’inactivité. Le mouvement dirigé par l’amour est un rayon de soleil qui multiplie l’espérance dans le cœur. Il y a des personnes qui se complaisent à multiplier les malheurs dans leurs vies.

Mais, pourquoi penser au mal, si celui-ci n’est pas apparu dans votre vie ? Et quand même il serait-là, il vaut mieux s’efforcer à le dépasser, en allumant et travaillant la pratiquer la charité, parlant plutôt de la victoire sur soi-même tout en plantant la foi où que l’on se trouve. N’alimentez point les aigreurs, ce sont les semences de la souffrance.

Notre paix dépend surtout de nous-mêmes ; sachons cultiver la prière, ainsi nous saurons nous envelopper dans une ambiance lumineuse, qui nous guide vers la paix. Nombreuses sont les personnes qui se lèvent de leur lit avec le visage marqué par la mélancolie, elles respirent la tristesse et donnent une si mauvaise impression, à celles qui les rencontrent à la lumière du jour, sans savoir, quelles recueilleront en fonction de ce quelles auront ensemencé.

Cherchez à vivre en Jésus, tout en souffrant des agressions, puisque celles-ci adviendront des lumières.

Les calamités qui se sont toujours produites sur la Terre, et que les grands hommes ont transformés dans leur tranquillité épris de leur foi. Faisons de même, ainsi nous rentrerons dans la dimension de la lumière spirituelle. L’angoisse n’est pas appropriée à l’homme de bien ni au chrétien parce que sont ensemencement est fétide qui va dégénérer en pourriture. L’angoissé souffre, et parfois il ne sait pas d’où lui vient la souffrance.

Pour l’Esprit conscient de la source de ses souffrances, est un devoir de combattre toutes les impulsions vers les mauvais sentiments, afin de faire participer sa pensée dans les dimensions de l’amour et de la fraternité.

Cherchons la lumière, afin que nous commencions à éclairer notre vie, en oubliant toutes les tourmentes qui, dans un certain nombre de cas, n’ont aucune raison d’être, et ne font que créer les conditions de faire exister des choses inexistantes. Ayez de la joie en faisant le bien, cette joie augmentera et d’elle viendra l’amour, qui à sont tour permettra le développement à d’autres vertus qui grandiront l’âme.

 

 


 

Bibliographie

 

Extrait de l’œuvre « Maximes de Lumière » de l’auteur João Nunes Mais (dictée par l’Esprit Miramez), Chap. 17, Pag. 58-59.