Spiritualité chez les personnes âgées.

L’homme est un être spirituel.

 

Par son essence l’homme est essentiellement un être spirituel. Quoi qu’en disent certains penseurs. Au fil de l’âge cette spiritualité peut prendre divers visages, même si la vigueur physique diminue, les personnes gardent une richesse et un regard particulier sur le monde.

Que ce monde soit celui de la nature environnante ou celui de la personne humaine elle-même, l’expérience aidant, la conception de cette spiritualité n’en est pas moins une réalité. La sagesse, des anciens, et leur maturation, quoique relatives et individuelles sont une donnée présente et qui se renforce dans le temps.

C’est cette expérience acquise, qui fait de nos anciens des véritables porteurs de connaissance et de la capacité, par le mûrissement, qui leur permettent de rendre d’immenses services à la collectivité. A l’âge jeune chacun est d’avantage porté vers l’action, puis peu à peu celle-ci emprunte des voies tournées de plus en plus vers l’intime et le spirituel.

Cette situation propre aux humains est d’une grande importance, pour l’a collectivité, d’autant que souvent leur cœur et leur esprit, restant assez jeune, leur passivité, leur marche se ralentissant, elle leur permet de mieux s’enquérir de ce qui se passe et d’observer les faits et gestes en leur présence.

Les hommes et les femmes, nos seniors, ont l’avantage d’une perception bien plus minutieuse, que celle de l’âge jeune, et de réfléchir plus profondément aux événements. Ceci est indéniable. On entend assez souvent dire que certaines joies ne sont possibles que lors qu’on atteint un certain âge. Alphonse de Lamartine, (1) le grand écrivain, disait : « Il n’y a d’homme plus complet que celui qui a beaucoup voyagé, qui a changé vingt fois la forme de sa pensée et de sa vie. » En effet, c’est ce qu’on pourrait appeler d’enrichissement, culturel, moral et spirituel, par l’âge.

 

Agir selon ses croyances.

 

Nous savons que dans notre vie, nous faisons bien mieux facilement certaines choses que quand nous y croyons. Lorsque quelqu’un exécute un ordre, ou fait un travail, de façon coercitive, la faisabilité de la chose, n’est pas la même, ni ce qui en résulte, en tous cas du point de vue de la satisfaction qu’on pourrait ressentir.

Les valeurs acquises, durant notre existence, au sein de l’environnement sociologique qui est le nôtre, ont une valeur très importante dans la façon dont nous envisageons notre vie. Tout ce que nous aurons acquis, soit par la transmission familiale soit par le milieu professionnel ou tout autre milieu, avec lequel nous sommes en contact, structure et notre mental, et nos réflexes, et nos sentiments, de même que notre référentiel, depuis notre enfance.

Nous savons, que notre corps physique et notre corps spirituel, sont en étroite connexion, que par ses connexions, passent un nombre incalculable d’informations détectées dans notre milieu environnemental, soit dans le temps, soit dans l’espace. La Nature où nous sommes insérés, influe sur notre comportement et nous emmène à agir dans un sens ou dans un autre.

Les croyances, auxquelles nous nous attachons, représentent des valeurs, qui agissent sur l’être humain, afin qu’il se donne des règles de vie et de conduite, vis-à-vis de ce qu’il doit entreprendre, comme de ses réactions à autrui. Et cet acquis est tel que lorsque nous y dérogeons, nous avons presque automatiquement, un sentiment d’avoir mal accompli quelque chose et parfois un sentiment de culpabilité, plus ou moins grand.

Ce référentiel bien qu’il soit personnel, il a sa racine et il est l’œuvre du collectif humain auquel nous sommes liés et des circonstances environnementales, où nous vivons. Le climat, la faune, la flore, sont des éléments qui forgent notre caractère et donc notre réaction et capacité de réflexion.

Lorsque que nous parlons de traditions, de coutumes, du caractère d’un peuple, c’est bien de ce référentiel et de son intervention dans la conquête de la personnalité, qui ne peut cesser d’agir et de former et l’homme et la société qui est la sienne.

Tant que la personne agit en accord avec son système de valeurs, tout va bien ou assez bien, mais dès le moment où il y a discordance, entre le système édifié et ses aspirations voire ses réalisations, un sentiment de décalage, de dissociation de son être intime, par rapport à la société, apparaissent et peuvent aller jusqu’à avoir un sentiment de rejet.

Dès que ses sentiments assez profonds atteignent un nombre assez important de personnes, il se forme un faussé, des clivages, entre individus et, la société rentre en situation de crise. Crise qui peut prendre des formes diverses et atteindre des niveaux plus ou moins aigus. Source de mécontentements, de défiances, entraînant des réactions, des protestations et même de révoltes.

Ses manifestations, produites par le décalage entre le système de valeurs édifié et la réalité de la vie, assainissent l’air ambiant et le mental individuel et collectif faisant germer l’idée puis le besoin de changement dans un mieux-être et l’équilibre. Ce furent toujours les crises qui assainirent les milieux humains et l’aidèrent à corriger certaines valeurs du passé, les mettant hors d’usage, en les remplaçant par de valeurs nouvelles adaptées aux nouveaux besoins.

Pour revenir à notre idée de début, ce qui se passe sur le terrain des choses dites matérielles, a aussi son pendant sur la question de la spiritualité (la religiosité) des personnes. Les personnes imprégnées d’une certaine spiritualité, et surtout convaincues de leur immortalité et de leur réincarnation, sont moins affectes à des dépressions, aux déséquilibres psychologiques et corporels. Et compris elles réagissent plus favorablement aux divers traitements si elles en ont besoin.

D’abord un niveau élevé de spiritualité, donne à la personne un moyen supplémentaire de réalisation personnelle et d’équilibre, se traduisant par un bonheur certain. Et celui-ci est un contre poids assez efficace à toute forme de maladie et de souffrance. Selon l’Association Internationale de Médecin Spirites (AIMES), lors du 7éme congrès Médecine et Spiritualité réalisé à Lyon en 2014, par la voix de Marlène Nobre, (2) des  études réalisées dans un certain nombre d’universités, 87,3% des personnes soumises à l’une de ces études, aimeraient que leur médecin aborde avec elles leur religiosité et leur spiritualité. Par exemple, et toujours selon l’AIMES, des niveaux élevés de spiritualité et compris certaines pratiques religieuses « sont associées à une progression plus lente de la maladie d’Alzheimer et du déclin cognitif chez les personnes âgées.»

Un certain nombre de recherches et d’études récentes, tendraient à prouver que le cerveau est programmé pour accepter Dieu, ce qui aiderait à vivre plus longtemps et mieux. C’est en tout cas ce qui déclare le chef du département des neurosciences cognitives, Jordan Grafman, (3) de l’Institut national des troubles neurologiques et des AVC de Chicago aux Etats-Unis. D’où il ressort que l’être humain est plus que son corps biologique. Et que ce n’est pas la maladie qui est à traiter mais le malade.

Remontant dans l’histoire, Olfa Mandhouj (4) de l’INSERM – France, explique que la religion joue un rôle dans la vie humaine depuis plus de 500.000 ans. Cette chercheuse déclare que l’investissement religieux contribue à « un plus faible taux de suicide, troubles dépressifs, troubles anxieux et addictions aux drogues. » Cette question atteint aujourd’hui une assez grande importance puisque la « mise place d’une discipline « Santé et spiritualité » pour les étudiants de deuxième année a permis de modifier les façons de penser, les opinions et les connaissances des participants à ce thème » est-il dit. Alessandra Luchetti (5) – université de Juiz de Fora, au Brésil, déclare : «Les dimensions spirituelles et religieuses de la culture  sont parmi  les facteurs les plus  importants qui  structurent l’expérience humaine, les croyances, les valeurs, le comportement et les types de maladie. » Ce avec quoi nous sommes bien d’accord.

Des études approfondies sont en cours afin de certifier le fait que la spiritualité pourrait influer dans les motivations des personnes âgées à voyager. C’est sans doute le signe concret d’un changement profond, nous dirions même d’un bouleversement de la société. Il n’y a pas de doute, la vieillesse est une tranche de vie qui permet une place plus ample à l’intériorité, à la soif de comprendre ce que l’on a compris plus jeune.

La société telle quelle est, la représentation qu’elle nous donne de l’individu, ne laisse pas une place aussi facile que cela à la jeunesse pour réfléchir à son fonctionnement, aux moyens quelle leur offre afin de travailler et vivre en harmonie, et quelle est la place de l’homme dans la vie, par quels chemins celle-ci évolue ? Quel est son but ? Au-delà de nos origines physiques et notre filiation familiale, d’où venons-nous ? Que signifie la mort ?

Le troisième et le quatrième, âges, par le dégagement opéré au niveau des activités humaines, et l’expérience aidant, sont le moment le plus propice à la réflexion, permettant de revoir son existence, et de prendre du recul sur ce que l’on fait et pas fait. Il n’y a pas de secret, il y a, dans la vie, un moment à tout, le grand âge nous donne cette possibilité.

Il est vrai que si la vieillesse signifie l’affaiblissement corporel, vers le dépouillement, elle représente aussi une occasion unique pour intérioriser l’idée de l’homme mortel et celle qui suit d’être immortel. Sans quoi la vie n’aurait qu’un but bien limité et à partir de ce paramètre l’idée même de progrès en serait raccourcie.

L’être immortel, l’être réincarnant, autant de fois que son évolution l’exige, pose la question de la continuité de la vie d’un point de vue pertinent et pas seulement comme une question philosophique, mais comme une possibilité concrète, comme une exigence, une loi réclamée par le progrès lui-même.

 

Prise en charge des personnes par la médecine actuelle.

 

La question de la santé des personnes âgées pose des questions importantes à la médecine. Les enjeux de cette question sont tels que la médecine actuelle se pose chaque jour d’avantage le développement d’un certain nombre de possibilités de traitement capables de concilier et les questions de la technique médicale et la prise en charge globale des malades, particulièrement en ce qui concerne les sentiments et les pratiques spirituelles des personnes.

Un certain nombre de médecins, malgré la tradition de non intervention dans les questions dites religieuses de leurs patients, comprennent, enfin, que l’évolution de la maladie au fil du traitement n’est pas la même pour un patient croyant et pour un non-croyant. C’est que la foi individuelle joue un rôle décisif dans l’issue du traitement et des effets ressentis tout au long des soins.
Plus que jamais cette dimension spirituelle des personnes est prise au sérieux, mais il est aussi vrai que bon nombre de médecins, reste encore à l’écart de ce mouvement médical rénovateur, de même que les laboratoires concepteurs de médicaments. Il faut que les chercheurs en pharmacologie, approfondissent jusqu’à quel point cette dimension spirituelle, particulièrement chez les personnes âgées pourrait intervenir dans la partie qui les concerne.

Nous sommes à un tournant, important, révolutionnaire, sur la conception de l’être humain intégral, au regard de la médecine. Une médecine totalement restructurée semble pointer à l’horizon et il serait dommage que les médecins et les divers agents liés à cette question décisive pour le bien-être de la personne laissent passer une telle occasion de démontrer combien leurs patients comptent plus que certaines de leurs conceptions d’arrière-garde venant du passé.

Nous ne pensons pas qu’il n’y ait aucun risque en rapport à l’approche de la question et de l’information tenant compte de la dimension spirituelle de chaque patient, mais à part les questions d’ordre intime et de liberté individuelle, les bénéfices d’une intégration de la foi et de la spiritualité de chacun, dans la connaissance par les médecins de cette information, seraient immenses, nous en sommes convaincus.

Une nouvelle pédagogie semble poser ses jalons et réclamer des professions médicales et paramédicales des efforts importants dans la conception de la personne humaine et de ses sentiments et de son vécu spirituel. Il va falloir oser, au service du bien-être, du traitement, et de la guérison des personnes, particulièrement celle ayant attrait aux personnes âgées.

Certains scrupules devront être bannis, en lieu et place il faudra une nouvelle posture respectant le citoyen, face à ces questions fondamentales de l’équilibre, physique et psychique, de ceux qui doivent consulter. Une nouvelle qualification et préparation des professions de santé incluant la dimension spirituelle doit être cherchée et mise en place.

Par cette nouvelle manière de poser les questions et d’intervention, par ses professionnels, auprès des patients, résultera une efficacité de soins et de guérison, dont tous, malades et soignants, en seront gagnants. Mais sans pour autant se précipiter, il ne faudrait pas pour autant laisser le temps passer sans réagir à cette nécessité aujourd’hui plus que jamais à l’ordre du jour.
Il faut reformuler la formation des professions de santé et changer de cap, afin d’améliorer la santé publique, des citoyens, et faire que le prestige et les méthodes sérieuses de diverses médecines s’en trouvent grandies et gagnent en efficacité. Il fut un temps où certaines de ces méthodes s’opposaient aux autres, au détriment du malade et patient. Aujourd’hui c’est de leur association au service du bien-être public qu’il faut envisager l’intervention des médecines et des divers moyens de traitement. S’adapter au seul et exclusif bien-être du patient voilà ce qui commande et doit être le rôle de la Médecine curative.

 

En avant toute…

 

L’hôpital public, et toutes les institutions publiques et privées liées à la santé, doivent avoir une approche biomédicale tenant compte de cette dimension spirituelle propre à chaque patient. Peut-être que pendant un certain temps tout ne sera pas facile, et qu’il ne sera pas toujours aisé de sortir des sentiers battus du conformisme et des libertés individuelles, dont certains feront appel, pour maintenir le vieux système et les anciennes conceptions, mais l’intérêt majeur de la santé publique et généralisée doit primer et tout doit être fait pour aller de l’avant.

Les professions médicales et paramédicales, comme toutes les pratiques de l’activité humaine, n’ont jamais été à l’abri d’un certain conformisme, des limites, des incertitudes, et même de la méfiance bienfaisante, mais il y a des moments où les nécessitées de la société et de la santé pour tous, réclament des efforts, des investissements individuels et collectifs permettant aux pratiques humaines de progresser.

C’est à notre avis, une nouvelle approche de ces questions biomédicales, qui sont à l’ordre du jour et, en tant que défi lancé à la médecine et aux médecins, de même qu’à toutes les institutions hospitalières, fonctionnant au service des hommes et de la vieillesse en particulier. C’est un défi lançait aux institutions du 3ème âge, aux maisons de retraite, maisons d’accueil pour personnes âgées, etc.

 

… et handicap.

 

Les centres et services pour handicapés, qu’ils soient associatifs privés ou publics, si peu et si mal pris en compte, disons-le sans retenue, doivent être parmi ceux dont les investissements vont être importants et exiger pas mal d’efforts d’adaptation dans la prise en compte du handicap et des familles d’handicapés à tous les niveaux.

Cette dernière activité, si mal organisée et dispersée, nécessité d’une centralisation d’établissements publics du handicap et d’une réorientation des associations qui s’en occupent.

Cette vision et cette conception n’est pas une vue de l’esprit, mais elle est depuis déjà longtemps une nécessité, dont un certain nombre d’intérêts financiers empêchent la solution. Le manque de places, le manque de personnels qualifiés et suffisant en nombre, sont dans l’actualité une véritable plaie et impose un parcours du combattant aussi bien aux handicapés qu’à leurs familles.

Ici, il faut une véritable révolution, peut-être faudra-t-il prendre des mesures drastiques et efficaces, mais laisser les choses là où elles sont, n’est à l’honneur de personne. Nos chers handicapés, méritent beaucoup mieux de la part et des pouvoirs publics et des autorités en la matière.

Les personnels intervenant sur ce terrain, font très souvent ce qu’ils peuvent et s’investissent autant qu’il leur est humainement possible, ceci n’est nullement en cause. Ce qui est un cause et est réclamé par la grandissime majorité des familles liées au handicap, c’est une transformation de fond en comble de la prise en compte politique actuelle du handicap.

Un rayon de soleil pointe à l’horizon, grâce aux progrès de la recherche scientifique médicale, tant dans le cadre de la connaissance des conditions du handicap, que des moyens de traitement et de soins. Puis il faut investir massivement dans la santé publique, c’est une exigence majeure, en rapport à ce que nous disions en démarrant notre article.

 

En conclusion.

 

Il n’y a de pire ennemi de la société que celui de la déception provoquée par le décalage entre le besoin humain et l’a non réponse à ce besoin, alors que les moyens existent, tant du point de vue des connaissances, que des technologies et même des finances nécessaires.

La question ici, comme ailleurs, tient à la mauvaise répartition de celles-ci et aux choix des priorités, qui en sont faits.

La santé est une priorité absolue et primordiale, aucune autre, à part le fait de nourrir tout le monde convenablement, n’est aussi décisive. Disons que l’alimentation est aussi l’une des causes, permettant aux hommes de bénéficier d’un bon et digne état de santé. Mais de plus en plus elle est aussi cause de maladie, surtout si on continue à laisser tout un tas de gens dirigés par le seul but d’enrichissement personnel ou d’actionnariat, s’en occuper sans contrainte d’aucune sorte. C’est un sujet sur lequel nous reviendrons ultérieurement.

Nous devons aussi tenir compte des déséquilibres, des difficultés, et des maladies dites mentales ou psychologiques. Depuis des décennies les progrès réalisées par les neurosciences, c’est ainsi que l’on nomme la science qui s’en occupe de les diagnostiquer, de les interpréter, au fil des recherches faites sur ce terrain.

Notre société, actuelle, par ses exigences et son inconfort vis-à-vis de l’individu citoyen, est nourricière de ces maladies et des conséquences qu’elles produisent sur une partie assez importante de la population. Là comme ailleurs, notre science biomédicale, se doit de redoubler des efforts et admettre des causes et sources de maladies qui tiennent au niveau de spiritualité des êtres humains.

Fermer les yeux, ne sert à rien. Nous avons cité plus haut la réincarnation, en tant que loi dirigeant l’individu sur sa longue route de son développement et épanouissement. Autre loi, dont la connaissance renforcerait l’efficacité de la médecine est celle de l’immortalité de l’être humain spirituel et de son évolution au cours des vies multiples antérieurs, des acquis sociologiques, de l’effet de tout son passé sur son état actuel et celui qu’il atteindra à l’avenir.

 


Bibliographie :

 

Ndlr. – Tous les extraits servant à appuyer notre article ont été pris sur le compte-rendu du 8éme Congrès Francophone de Médecine et Spiritualité tenu à Lyon en 2014, publié sur internet :

1 – Alphonse de Lamartine – (1790-1869) écrivain, poète, politicien, diplomate et ministre des affaires étrangères, français. Le 27 avril, il signe le décret d’abolition de l’esclavage.

2 – Marlene Rossi Severino Nobre – (1937-2015) Médecin, spirite, écrivaine, présidente de l’Association Internationale des Médecins Spirites (AIMES), intervenante au 8éme Congrès.

3 – Jordan Grafman – Professeur en médecine et Chef du département de Neurosciences cognitives de l’Institut National des Troubles Neurologiques et des AVC de Chicago aux Etats-Unis.

4 – Olfa Marie Hélène Mandhouj – Médecin spécialiste en santé publique et Médecine sociale, Psychiatre, Membre de l’INSERM, intervenante au 8éme Congrès.

5 – Alessandra Luchetti – Université de Juiz de Fora au Brésil, intervenante au 8éme Congrès.