Introduction.
Depuis que l’homme est apparu sur la Terre et qu’il y a exercé une activité, afin de se protéger, de se nourrir et de se cultiver, il n’a pas cessé de polluer. Mais combien même, les diverses cultures et civilisations ont manifesté et leur existence et par suite se sont développés, toutes sans exception, n’ont eu de cesse de polluer. L’activité humaine est une activité, qui, jusqu’à récemment, ne s’est pas posé le problème de la pollution qu’elle engendré.
Cette idée de prise en compte des méfaits produits par l’activité des hommes, est une idée nouvelle, non pas tant quant au phénomène de la pollution de l’environnement, connu depuis des millénaires, mais il est surtout une idée qui s’imposent à la société en vue des dégâts qu’elle provoque. La nouveauté est que depuis un certain nombre de décennies l’homme sait que son activité ou travail le touche lui-même et le met en danger, en mettant en cause sa santé, son équilibre et son existence.
Jamais auparavant l’humanité, dans son ensemble, n’a couru de risques aussi importants que ceux engendré par son activité, plus particulièrement depuis que l’industrialisation est devenue un moyen de produire des biens en masse mais aussi des dangers. Les transports modernes pour ne parler que de cette activité humaine, qui ont marqué le développement et rapproché les peuples, rendant plus homogènes leurs différents modes de vie, sont aujourd’hui, parmi les grands pollueurs de notre planète.
La prise de conscience concernant les dangers courus par l’homme, face aux activités qu’il exerce, est de plus en plus du domaine de tous. Mise en avant par une partie des hommes de science, et delà l’existence de diverses théories, les unes défendant les bienfaits de l’industrialisation, et la laissant ce développer librement et celles voulant réglementer tout, même plus qu’il en faut, ne sont pas tenues par le bon sens et l’équilibre en faveur des hommes et plus largement de la vie sur notre planète, mais par les moyens d’enrichissement quelle procurent, à ceux qui peuvent y investir des capitaux importants.
C’est certainement, ici, que réside le nœud des difficultés rencontrés par notre société actuelle, dans le cadre de la prise en compte et des solutions pour empêcher les activités humaines de nuire, sur notre environnement et la santé de la planète. La gestion des choses, de même que celle de la vie humaine, source de toute l’activité exercée par les hommes, de façon équilibré et sensée, est la plus grande question qui se pose à l’Humanité.
L’avenir des Hommes et de toutes les formes de vie, sur notre planète physique, autant que dans l’environnement cosmique, est mis en cause et en danger, parce qu’il repose sur des forces aveugles et dominatrices.
Les méfaits de la pollution.
La pollution intense qui se manifeste avec tant d’acuité et de méfaits, n’est plus à démontrer. Quelle soit le résultat de substances génétiques, chimiques ou énergétiques, ou encore sonore, est aujourd’hui un danger pour la vie et la survivance sur notre planète. L’environnement ne cesse de se faire maltraiter, sa pollution altère de façon continue le fonctionnement équilibré de notre écosystème.
Les choses bon si mal, que nous pouvons imaginer assez facilement, les perturbations et les difficultés qui nous guettent dès à présent, et d’avantage les futures générations, dans tous les règnes de la nature terrestre et compris celle de la survie et de la vie spirituelle. Nous ne pouvons plus faire comme si de rien n’était ou comme si aucun danger ne nous menaçait.
Pour une meilleure compréhension.
Nous avons différents types de pollution. Celle d’origine humaine, celle causé par l’environnement, celle de l’air, celle des sols et sous-sols, celle de l’eau intégrant les fleuves et les océans. Pratiquement toutes ont pour origine l’activité humaine, même si elles se manifestent de façon dite naturelle, et on peut penser que dans le fonctionnement macrocosmique de la nature il y a une pollution qui se produit, mais cette même nature fonctionne avec des dispositifs de prévention, de protection, et de réparation.
Ces moyens macrocosmiques, naturels, assez conséquents, semblent avoir une conscience qui les gouvernent et domine, et lorsque certains nous expliquent qu’il n’y a pas que les hommes qui polluent, ils ne nous disent pas tout, ni que, jusqu’à récemment l’activité humaine était la seule à polluer aveuglement et sans aucun moyen préventif ou réparateur.
Souvent on nous a occulté la vérité, falsifié la réalité, particulièrement lors des événements catastrophiques d’origine humaine, avec des explications mensongères, rappelons-nous la catastrophe de la centrale atomique de Tchernobyl en Ukraine. La pollution qui a traversé l’Europe, s’était arrêtée aux frontières, alors que ses méfaits étaient patents et ont duré des années.
Et, cette attitude des grands groupes du nucléaire et des autorités à leur service, est toujours présente, même si les mots ont changé, et ils tentent de minimiser les dégâts lorsque des incidents se produisent. Celui de Fukushima, au Japon, le plus grand en date, témoigne en faveur de ce que nous vous affirmons : à savoir que le mensonge est perpétuellement érigé vérité.
La pollution de l’air.
Cette pollution est très fréquente, non seulement en France mais aussi dans les autres pays. On estime qu’au niveau mondial, 1,3 millions de personnes meurent chaque année en raison de la pollution de l’air. Pour la France les chiffres concernant les morts par la pollution de l’air s’élève à 48.000 personnes par an. Et, l’agence « Sante publique France », déclare que cela est « probablement plus ». Les particules fines comptent ainsi pour près de 9% de la mortalité en France. « Cela correspond à une réduction de l’espérance de vie de deux ans chez les personnes âgées de 30 ans, explique encore cet organisme. L’OMS déclare qu’aujourd’hui ce sont 1,7 millions d’enfants qui meurent chaque année victimes de la pollution, dont plus d’un quart de moins de cinq ans.
La pollution de l’air à pour sources principalement l’activité humaine de, l’industrie, agriculture, transport, chauffage et la présence humaine au bord des fleuves, et les océans, dont le tourisme. Certaines catégories de la population sont plus vulnérables que d’autres. L’organisation mondiale de la santé – OMS, précise : « des effets plus graves sur la santé sont observés chez les personnes déjà malades. En outre, les populations plus vulnérables comme les enfants, les personnes âgées et les ménages à faible revenu ayant un accès limité aux soins de santé sont plus sensibles aux effets préjudiciables de l’exposition à la pollution de l’air ».
Les maladies générées par la pollution.
Les polluants atmosphériques ont pour effet de fragiliser les bronches, qui se retrouvent de fait plus exposées aux virus et aux bactéries. Ce sont ces derniers qui provoquent des bronchites aigües ou chroniques. On estime ainsi que 950.000 cas de bronchite aigüe sont provoqués par la pollution de l’air, qui provoque également 134.000 nouveaux cas de bronchite chronique. Ces bronchites chroniques peuvent dégénérer en broncho-pneumopathies chronique obstructive (BPCO). Cette dernière est permanente et non réversible. 10% à 15% des cas BPCO sont liées à la pollution de l’air.
L’asthme constitue la principale affection déclenchée ou aggravée par la pollution de l’air. On estime ainsi que 10% à 35% des cas d’asthme identifiés chaque année y sont liées. Puis y a les maladies cardio-vasculaires, des allergies au pollen, des cancers des poumons et des voies respiratoires, des affections du système reproducteur.
Bibliographie
Un article du journal CNEWS Matin sur l’environnement, publié le 19.6.2017.
Organisation mondiale de la Santé (OMS), communiqué de presse du 6 mars 2017.