Nous pouvons entendre par cosmos, l’univers astral, dans lequel nous nous trouvons en tant qu’élément infime. Le cosmos est incommensurable. Les recherches scientifiques de plus en plus complexes sont capables de pénétrer de plus en plus profondément, dans le but de sonder les sphères extraterrestres. Dans ce cosmos où au-delà de l’univers c’est toujours l’univers, avec un nombre incalculable de systèmes solaires.
Beaucoup d’avancées ont été faites, ces dernières décennies, dans la connaissance de notre système solaire, et aussi de l’univers dans lequel nous vivons. Des découvertes extraordinaires nous décrivent les éléments qui constituent les planètes de notre système. Les hommes connaissent de mieux en mieux le ciel qui ne leur tombe plus sur la tête.
Les expérimentations et les voyages astronomiques, d’abord sur la Lune (la notre…) puis sur Mars et autres planètes, de notre système planétaire, nous permettent d’avoir une idée de plus en plus large sur notre voisinage cosmique et bien au-delà.
Allan Kardec, dans son œuvre ‘La Genèse’ – chapitre 4 – Rôle de la science, écrit : « La science en portant ses investigations jusque dans les entrailles de la terre et la profondeur des cieux, a donc, démontré d’une manière irrécusable les erreurs de la Genèse mosaïque prise à la lettre, et l’impossibilité matérielle que les choses se soient passées ainsi qu’elles y sont textuellement rapportées ; elle a, par cela même, portée une atteinte profonde à des croyances séculaires. » […].
Télescopes, radiotélescopes, navettes équipées d’engins et matériaux ultrasophistiqués de plus en plus nombreux inondent notre système solaire et bien au-delà, afin de sonder, photographier, analyser et rapporter aux scientifiques une quantité d’informations inouïes.
L’univers devient presque aussi familier, non seulement aux scientifiques, mais à l’homme de la rue, que notre Terre. Quelque part, au fil des années, tout ce passe comme si nous y étions et participions de ces découvertes. Les moyens modernes de communication et d’information y sont pour beaucoup dans cette connaissance et cette proximité avec le monde sidérale.
Peu à peu l’homme à la conviction de ne pas être seul dans l’univers, que d’autres humanités pourraient y exister (du moins théoriquement) et poursuivre leurs mouvements cosmiques. L’homme chemine jusqu’aux confins de l’univers et lorsqu’il pense y être arrivé il se voit devant une continuité infinie, qu’il va chercher encore et encore, en réalisant un voyage sans fin, vraiment grandiose !
Allan Kardec écrit que : « La Genèse comprend deux parties : l’histoire de la formation du monde matériel, et celle de l’humanité considérée dans son double principe corporel et spirituel. La science s’est bornée à la recherche des lois qui régissent la matière ; dans l’homme même, elle n’a étudié que l’enveloppe charnelle».
Enveloppe quelle connaît et décrit avec une précision incontestable de sa constitution et des organes physiques qui la composent, même si bien des choses restent à l’état rudimentaire, principalement sur la question de l’existence du mécanisme mental, du fonctionnement de celui-ci, et des relations de celui-ci avec le cerveau.
A ce sujet la science académique ne nous explique pas toujours quelle est l’imminence pensante qui se trouve aux commandes de ces relations ni comment se forge la pensée. De même elle ne nous explique comment sont traitées les informations captées para notre corps dans son environnement, ni à quel ‘instrument’ celles-ci arrivent et y son traitées.
Sur ce point capital, elle a donc pu compléter la Genèse de Moïse et rectifier les parties insuffisantes ou erronées, mais nous attendons toujours son explication para rapport au donneur d’ordres et maître de cet ensemble qu’est-ce l’Homme.
L’histoire de l’homme, considéré comme un être spirituel, se rattache à un ordre spécial d’idées qui n’est pas pour le moment du domaine de la science proprement dite, et dont celle-ci, n’a pas fait la priorité de ses recherches et investigations.
Sans doute parce qu’ayant les mains et les pieds liées aux explications traditionnelles et d’une certaine manière religieuses, la découverte de la vérité constituerait une révolution du système à laquelle elle n’est pas décidée à participer.
Si ma question de l’homme spirituel est restée de par la science académique jusqu’à nos jours à l’état de théorie quelle ne veut pas officialiser, c’est qu’elle na pas osé s’aventurer dans la destruction d’un système incapable de répondre à cette idée fondamentale et à laissé le champ ouvert aux seules conceptions affirmant que l’Homme est un Esprit et que c’est ce Principe spirituel qui réunit les conditions intellectuelles de penser et ordonner.
Cette connaissance était réservée à notre époque, comme celle des lois de la matière a été l’œuvre des deux derniers siècles. Jusqu’à présent, l’étude du Principe spirituel, fut considérée purement spéculative et théorique. Par œuvre naturelle des choses la réponse est venue de la science spirite seule à donner des explications sur cette question décisive pour l’avenir de l’Humanité.
Des études et recherches, les photos du spectre humain obtenues en laboratoire dans certaines universités de différents pays, depuis environ un siècle, sont de nature à encourager et à trouver une nouvelle voie pour la science et la définition de ce qu’est-ce la vie intellective et psychique aussi bien de l’homme que de ses compagnons de route les animaux, pour le moment encore d’avantage plus mal traités et moins bien connus.
Notre espérance se fonde dans la connaissance des facultés médiumniques, plus développées et surtout généralisées de nos jours, avec le sérieux qui les accompagne et bénéficiant des informations venant des intelligences spirituelles sont un instrument décisif dans le cadre de l’étude de l’intégralité de la personne humaine. Cette connaissance permettra à la science académique de se débarrasser de ses liens encombrants avec les traditionalismes et d’accéder au Principe spirituel qui n’est autre que l’Esprit défendu par la Doctrine spirite.
Bibliographie
Allan Kardec dans son œuvre « La Genèse »
Article choisi et élaboré par la rédaction de l’EPADIS.