Le cancer et ses origines.

Préambule

 

Cet article, n’est pas un texte concernant le cancer vu par la médecine académique, mais un point de vue venant d’un Esprit, Ramatis, enregistré par la psychographie du médium Hercilio Maes. (1) Depuis que Ramatis à transmis son point de vue, au milieu des années 1950, la médecine académique à faits des pas en avant dans la connaissance et la thérapie d’un certain nombre des cancers.

Cependant, nous pensons que les idées ici exposées ont le mérite d’aborder cette question du point de vue des faits réalisés par les comportements des hommes lors de leurs réincarnations passées et leurs conséquences, plus ou moins douloureuses, qui s’en suivirent, jusqu’à ce qu’ils trouvent un traitement, et au moins pour un certain nombre la guérison tant désirée.

Considérations physiologiques

 

Question : Pouvez-vous nous dire si le cancer est une infirmité provenant du milieu planétaire où nous habitons ?

Réponse de Ramatis : « Nous vous avons déjà parlé que le corps physique est le prolongement du périsprit agissant sur la matière ; vous pouvez le comparer à un buvard de grandes dimensions capable d’absorber le contenu toxique produit pendant la durée des déséquilibres mentaux et des déviations émotionnelles de l’âme.

Toute inharmonie ou blessure do corps physique doit être examiné et étudié tenant en vue l’individu dans son intégralité, c’est-à-dire son ensemble psycho-physique. Le corps humain, par delà ses activités proprement physiologiques, est en rapport avec une existence occulte, spirituelle, qui s’élabore premièrement dans son monde subjectif, et ensuite, il se manifeste dans le monde physique.

L’esprit est unique en son essence immortelle, mais sa manifestation se réalise en trois phases distinctes ; il pense, il sent et il agit. Quel que soit l’aspect par lequel il est analysé, ou au cours de n’importe quelle de ses actions, il devra être considéré sous sa réalité triple, qui touche à la pensée, au sentiment et à l’action. Et afin d’obtenir une meilleure connaissance de l’homme, il faut savoir qu’il est cette même unité qui se manifeste lors des activités morales, intellectuelles, sociales et religieuses.

De cette manière, que ce soit lors d’une infirmité, ou dans un bon état de santé, il n’y a de séparation entre la pensée, l’émotion et l’action de l’homme ; en toute circonstance ou événement de sa vie, il se révèle par une conscience unique, un seul tout psychique et physique, une seule mémoire forgée dans le symbolisme du temps et de l’espace.

Par voie de conséquence, dans la mesure où l’esprit et le corps ne doivent être étudiés séparés, qu’il s’agisse de la santé, de la maladie, il est clair que dans un cas de cancer et du traitement spécifique de celui-ci il est très important et sensé d’identifier avant tout le genre psychique du malade et, ensuite, considérons alors l’espèce de maladie qui l’atteint.

Et même si un pourcentage d’incidences sur le cancer a son origine dans le choc produit entre les forces occultes qui descendent du plan supérieur et les énergies astrales créatrices des divers règnes de la vie physique, sa manifestation morbide chez l’homme provient de la toxicité fluidique qui circule encore dans le périsprit et qui s’est accumulée lors des déviations mentales et émotives produites dans ses diverses incarnations passées.

Ce fluide morbide «descend », après, du périsprit pour se concentrer sur un organe ou système organique-physique, et va perturber l’harmonie fonctionnelle du réseau électronique de sustentation atomique et fini par aliéner le travail de croissance et de cohésion des cellules.

Bien que chaque corps physique soit le produit spécifique des ascendants biologiques hérités d’un certain lignage charnel humain, elle révèle toujours dans le scénario du monde physique l’aspect intérieur de l’âme qui le commande. Tout en considérant les tendances héréditaires, qui disciplinent les caractéristiques physiques des créatures, il faut reconnaître la force des principes spirituels qui peuvent diriger et modifier le corps de chaire.

Chaque organisme physique réagit en accord avec la nature intime de chaque âme incarnée, et différemment entre divers hommes ; et ceci se produit autant dans un état de santé que dans une infirmité.

Ainsi, sachons que les réactions et la gravité d’une même tumeur cancéreuse varient selon les différents individus, parce que leur plus ou moins grande influence, par delà leur résistance biologique, est subordonnée à la nature psychique, émotive et même psychologique de l’infirme.

Question : – Faut-il considérer que le cancer comme une maladie spirituelle, si en effet il provient d’une déviation    psychique commise par le passé de l’homme ?

Réponse de Ramatis : – C’est dans l’intimité occulte de l’âme qui débute un impact morbide, qui ensuite va perturber le rythme et la cohésion des cellules dans l’organisation de chaire. C’est cela qui distingue la nature, la fréquence et la qualité de ses énergies, d’autant plus si elles agissent plus profondément au sein de l’esprit humain. Ainsi, la force mentale subtile qui modèle la pensée est très supérieure à l’énergie astrale, bien plus dense, manifestée par le sentiment ou l’émotion, de la même manière que, dans la matière, le médecin reconnaît aussi que la force nerveuse de l’homme est supérieure à sa force musculaire.

Voici, pourquoi, pendant l’infirmité, qu’il s’agisse d’une simple gastralgie ou de cancer et ses peurs, la réflexion, l’émotion et la résistance psychique de chaque malade présente des différences considérables variant selon les réactions produites entre elles.

Et pendant qu’un homme à prédominance spirituelle et doté d’une réflexion d’avantage affinée peut penser à sa souffrance d’un point de vue philosophique et réconfortant ou l’accepter en justifiant sa plus grande sensibilité, la personne simplement émotive est presque toujours malheureuse, elle matérialise la douleur par un désespoir incontrôlable, à cause de sa haute tension psychique.

Il faut savoir que les énergies subtiles qui agissent dans le monde occulte de la créature humaine se constituent dans le réseau magnétique, merveilleux, qui soutient l’édifice atomique de chaire, ne peuvent se maintenir en cohésion et rendre une vie tranquille que si l’esprit est en équilibre harmonieux.

C’est seulement de cette manière que nous pouvons parler de santé physique en tant qu’état d’ajustement organique ; là on ne ressent ni on écoute la pulsation de la vie, parce son rythme est doux et réglé par le plus léger entendement de toutes les pièces et fonctions organiques. La totalité de son métabolisme se manifestera admirablement récompensé, et les fonctions ne perturberont la conscience vigilante, d’autant qu’elles n’ont provoqué la démoralisation, le désarroi, ou l’angoisse, qui se sont développés pendant la désharmonie de l’esprit.

L’animal sauvage ou l’homme de la forêt, bien qu’ils vivent une vie rudimentaire, sont porteurs d’organismes en bonne disposition, des machines précieuses structurées de chaire dont le fonctionnement est si ajusté, quelles ressemblent à des chronomètres de haute précision.

Cette situation est due au fait qu’ils vivent loin des ressentiments mentaux des hommes civilisés, d’où ce fait qu’ils ne portent aucune perturbation psychique qui puisse leur altérer l’harmonie des forces électroniques responsables de la cohésion moléculaire de la chaire.

Le cancer qui se manifeste autant en tant que tumeurs comme en dévitalisant les systèmes, lymphatique, nerveux, osseux ou sanguin, ne doit être considéré seulement comme un symptôme isolé de l’organisme, dans la mesure où sa plus ou moins grande virulence maintien une étroite relation avec le psychique du malade. Le mal du cancer vient des manquements mentaux et émotifs, qui font trembler le champ bioélectrique animal et lèsent le système vital de défense, et se transforme en un organe ou système d’avantage vulnérable du corps physique.

En conséquence, la « cause lointaine » pathologique, du cancer, doit être recherchée consciencieusement                   sur le terrain originel de l’esprit de même que dans la base de ses activités mentales et émotives. Il ne s’agit d’un événement morbide dont l’exclusivité viendrait de n’importe quelle dépendance organique, qui se serait produite sans la connaissance subjective de l’individu dans sa totalité.

 


 

Bibliographie

 

(1) – Ramatis, est un Esprit qui a dicté diverses œuvres au médium Hercilio Maes dont « Fisiologia da Alma » en portugais, (Physiologie de l’Âme » en français. Œuvre publiée par Editorial Bibliografica do Brasil Lda. en 1959.

Le titre et le préambule, sont de la responsabilité de la rédaction d’Epadis, l’article a été réalisé à partir d’extraits traduits de l’œuvre cité ci-dessus.