La vision spirite sur le cancer.

Vision spirite de la médecine relative au cancer.

 

Les efforts des scientifiques pour mieux connaître cette maladie du cancer sont vraiment importants. Mais comme nous dit Marlène Nobre, (3) dans son livre « L’Ame de la Matière » page 39, sous le titre « Prédispositions Morbides et Comportements » : « L’engagement des scientifiques nous ramène à une des affirmations des Mentors Spirituels : La médecine inventera mille façons d’aider le corps atteint dans son équilibre interne ; pour cette édifiante, elle méritera toujours notre admiration sincère et notre amour fervent. Cependant, c’est à nous autres qu’il incombe de pratiquer la médecine de l’âme, qui soutient l’Esprit lié dans les ombres… » (En référence à cette région spirituelle où résident les Esprits criminels, usurpateurs, malins, souffrants, etc).

« Toute l’humanité bénéficiera sans contredit des recherches de ces scientifiques dévoués qui ont dédié leur vie à la découverte de vaccins et de médicaments pour améliorer la qualité de vie sur la planète. Toutefois, la médecine progressera toujours et sera exercée, comme d’habitude, de façon compatible avec le développement spirituel de l’humanité.

Le paradigme médico-spirite projette son regard vers des horizons plus vastes, vers des conquêtes futures, affirmant qu’il est impossible d’arriver à la véritable cause du procédé infectieux sans tenir compte de l’emprise de l’âme sur le corps physique.

Chaque fois que l’Esprit commet une faute – nous entendons par faute, la transgression de la Loi de l’Amour – il provoque, par le remord conséquent, même s’il arrive d’une façon inconsciente, un déséquilibre interne qui désorganise le corps subtil ou périsprit. C’est alors que surgissent des perturbations diverses dans les enveloppes subtiles et que les synergies désarticulées entre les enveloppes subtiles et le corps physique, nuisant aux échanges vitaux de l’organisme et provoquant la rupture de l’harmonie cellulaire. Selon ces dysfonctions, des zones déterminées de l’organisme deviennent plus vulnérables et sujettes à des invasions microbiennes.

Par conséquent, les germes pathogènes ayant une occurrence secondaire, car le déséquilibre naîtrait dans l’Esprit des suites de l’erreur commise ou de l’action moins digne commise.

Il est nécessaire de rappeler également le fait que l’Esprit en déséquilibre attire à lui d’autres Esprits dans le même niveau vibratoire, surtout ceux qui se sentent lésés par la faute commise, ce qui peut beaucoup aggraver le problème.

Dans l’avenir, outre les vaccins et les médicaments, nous aurons besoin de l’appui effectif de l’Esprit humain, pour qu’il puisse surmonter, au moyen d’un travail constructif, son propre remords et, principalement, pour qu’il prenne conscience que le meilleur système de préservation de la santé, consiste toujours dans l’observation de la loi de solidarité et d’amour. »

Projet génome humain.

Lors de la fin de la première partie du Projet Génome, en février 2001, beaucoup de suppositions scientifiques ne se sont pas confirmées. On avait découvert que le génome humain ne comptait qu’un petit nombre de gènes et que c’était le cytoplasme qui dicté au noyau ce qu’il devait faire et non le contraire, comme on le supposait.

A l’annonce de la fin des premières études, Francis Collins, chef du consortium gouvernemental affirmait : « La complexité de l’être humain a surgi d’une autre source, que nous devons commencer à chercher. »

Et, Craig Venter, responsable pour Celera Genomics, une entreprise privée qui a participé aux recherches, a ajouté : « Il y a des illusions à éviter : le déterminisme, l’idée que toutes les caractéristiques d’une personne sont ‘imprimées’ dans le génome ; et le ‘réductionnisme’, (l’idée) que maintenant que la séquence humaine est connue au complet, ce ne sera qu’une question de temps avant que notre compréhension des fonctions et des interactions des gènes nous fournisse une description causale complète de la variabilité humaine. »

Le fait est que nous avons découvert que nous avons à peine quelque 300 gènes de plus qu’un rat et qu’un gène effectue des ‘choix’, des façons diverses de traiter une information. On a aussi constaté un autre paradoxe encore plus étonnant : le gène est régulé par la protéine du cytoplasme. En vérité, les protéines déterminent ce qui devait les déterminer selon les suppositions antérieures.

En outre, le gène demeure à la merci des stimuli des milieux internes (cytoplasme) et externe.

Les révélations spirituelles nous avaient déjà alertés quant à ces possibilités. Dans le livre « A Caminho da Luz » (Sur le Chemin de la Lumière), édition de 1938, Emmanuel (Esprit communiquant) affirmait que : « Les premiers habitants de la Terre, sur le plan matériel, furent les cellules albuminoïdes, les amibes et toutes les organisations unicellulaires, isolées et libres, qui se sont multipliées prodigieusement dans la température tiède des océans. »

Dès lors, nous avons pris connaissance que les protéines étaient les plus anciennes molécules de la vie sur la croûte terrestre. Ceci indiquait déjà leur importance dans la hiérarchie des phénomènes impliquant les êtres vivants.

De même, dans le livre « Evolução em Dois Mundos » (Evolution dans Deux Mondes), paru en 1958, nous apprenions que l’âme agit sur le cytoplasme, « par entremise des biophores ou unités de force psychosomatique. » Entre ces unités, les biophores, se trouvent les mitochondries qui sont de véritables usines de force du cytoplasme, « qu’on peut considérer comme des accumulations d’énergie spirituelle, sous forme de granules. » Les biophores sont donc ceux qui se chargent de transmettre à la cellule la production de l’Esprit, soit « tous ses états heureux ou malheureux. »

En dernière analyse, l’Esprit agit plus directement sur les protéines du cytoplasme (milieu interne), influant sur les « choix » des gènes, c’est-à-dire déterminant le traitement de l’information. Nous pourrions dire que l’Esprit serait le logiciel de cet ordinateur très perfectionné qu’est la cellule.

Cancer.

Malgré les progrès de la dernière décennie, ce que nous désignons sous la dénomination générique de cancer regroupe en vérité différentes maladies présentant des caractéristiques similaires, mais également des différences très marquées. Le degré élevé d’hétérogénéité des tumeurs peut mener au succès ou à l’échec de l’arsenal thérapeutique disponible.

 

La vision spirite sur le cancer.

 

Sous le titre de « Cancer dans la vision spirituelle » Le Dr. Marlene Nobre, écrit : « Comme nous l’avons déjà dit, quand nous analysons les infections et les prédispositions morbides, il est nécessaire de chercher dans l’âme les racines des maladies. Il ne pourrait en être autrement dans le cas du cancer. Les productions mentales négatives génèrent des irradiations impropres, similaires aux projections de rayons X ou de rayons ultraviolets, qui créent des lésions dans les cellules, nuisant à leur travail synergique et provoquant par conséquence leur désarticulation. »

La maladie surgit comme un état secondaire, car en vérité, l’origine du cancer ou de la perturbation de l’équilibre cellulaire se trouve beaucoup plus enracinée dans le manque d’harmonie de l’Esprit.

Nous savons que dans le noyau de la cellule, dans le génome (l’ensemble des gènes), se trouvent toutes les probabilités pour la nouvelle existence, et que ce génome est construit en fonction de l’état évolutif de l’Esprit qui se réincarne et qu’il se reflète dans le périsprit ou modèle organisateur biologique.

Donc, le karma de chacun s’exprime dans le noyau, où se trouve le compte du destin que l’Esprit apporte de ses vies antérieures, mais les créatures ont la possibilité de le modifier tous les jours en faisant leurs choix quant au fonctionnement ou non de gènes déterminés, c’est-à-dire dans le cas du cancer, des oncogènes.

L’Esprit agit sur le cytoplasme et influe directement sur les « choix » des gènes, en les sélectionnant ; de lui partira donc l’ordre qui les mettra en fonctionnement ou non. Avec la fin de la première phase du Projet Génome, en février 2001, nous avons vu l’importance du milieu interne, situé dans le cytoplasme de la cellule, et c’est justement là, selon les informations des Instructeurs Spirituelles, que l’Esprit agit, indiquant au noyau ce qu’il doit faire.

Ceci explique pourquoi, quoique présent dans le génome de familles entières, un oncogène déterminé ne se manifestera que chez certains de ses membres.

En 1982, Mariano Barbacid, (4) en Espagne, a découvert le premier oncogène. Aujourd’hui, on en a détecté plus de 100. Depuis, les progrès dans la lutte contre le cancer n’ont pas cessé. Déjà, on a découvert des cellules immunologiques spécifiques capables d’agir contre le cancer du sein et des ovaires.

A São Paulo, au Brésil, l’Institut Ludwig de recherche sur le cancer, a remporté d’importantes victoires en dévoilant le modèle des métastases. Le chef du laboratoire de biologie computationnelle de cet institut, Sandro José de Sousa (5), de 33 ans, l’un des cent jeunes les plus prometteurs du monde dans le domaine de la technologie selon la revue Technology Review, du Mit (Massachusett Institute of Tecnologie) parue en novembre 1999, a fait un usage intensif de l’informatique dans la recherche sur le génome et le cancer.

Lui et son équipe s’affairent à extraire du matériel génétique des tumeurs des malades atteints d’un cancer, les morceaux du code génétique que les cellules cancéreuses utilisent dans leur activité destructrice. Ces études détaillées sont ensuite acheminées à d’autres instituts de recherche dans le monde, ce qui permettra, dans l’avenir, de mieux comprendre le rôle des gènes dans cette inextricable maladie et de concevoir des remèdes spécifiques pour chaque individu et chaque type de tumeur.

L’oncologiste peut déjà concevoir un traitement spécifique, basé sur les caractéristiques moléculaires de la tumeur. L’utilisation de ces médicaments spécifiques entraîne moins d’effets secondaires. D’autres progrès ont été accomplis dans le domaine de la chimiothérapie : sous forme de pilule, (ou de cachet) le traitement agit directement sur la tumeur, tuant les cellules malignes.

Malheureusement, en raison de leur coût très élevé, ce n’est que dans les pays riches qu’on peut trouver un grand nombre de ces médicaments, faits spécifiquement pour des tumeurs déterminées. Ainsi, la médecine de l’avenir accordera une grande importance au rôle éducatif du médecin qui sera beaucoup plus engagé envers la prévention des maladies.

Comme éducateur et l’un des principaux agents de la santé, il rehaussera l’importance d’une conduite morale élevée, insistant sur la nécessité de cultiver l’humilité et le dévouement au bien pour que l’être humain puisse conquérir une santé parfaite.

Selon les enseignements spirituels, seuls l’amour pur, désintéressé, mène à l’immunologie parfaite parce qu’il permet l’assimilation des forces supérieures qui maintiennent le corps sain.

 
 


Bibliographie

 

* Informations prises sur le site internet de La Ligue Contre le Cancer.

(1) Article de Liliana Carona de 31.01.2016 relié par l’agence portugaise Sapo et Radio Renascença, de même que par la revue scientifique britannique « Nature et Biotechnology » (2) Publié ensuite dans la revue « Sciences et Avenir » et l’AFP le 29.01.2016.

(3) Marlene Nobre, (1937-2015) fut un médecin brésilien et spirite, auteure du livre « L’Âme de la Matière », São Paulo 2003, ainsi que d’autres œuvres. Conférencière de grande valeur.

(4) Mariano Barbacid, médecin, professeur et scientifique espagnol, né en 1949, a fait des recherches très poussées dans le cadre du cancer. Reconnu internationalement.

(5) Sandro José de Souza, brésilien, formé en biologie, docteur en biochimie. Pionnier dans la recherche sur le cancer de 1999 à 2012. Est professeur titulaire à l’Institut du Cerveau de UFRN. Fut professeur à l’Université de Chicago en 2011.