Ces dernières décennies les problèmes relatifs à l’excès de graisse dans l’organisme humain, est devenu l’un des problèmes sérieux, pour la biologie et la médecine, face au nombre de problèmes dont la graisse est la cause.
Le docteur en biologie Karlla Patricia, (1) dans l’un de ses articles sur les « adoucissants et les boissons chaudes » bien de rendre publique le fait que les adoucissants artificiels nous font grossir ! Il est vrai qu’à force de mettre l’accent sur cette question de graisse et de poids physique, ont fini par créer l’idée que finalement les substances mises à notre disposition comme étant des substances pour maigrir, finalement elles nous feraient grossir.
L’opinion publique, ne sait plus où donner de la tête. Nous nous trouvons au milieu d’une embrouille de ceux qui, au nom de la science, de la biologie et de la médecine, n’ont rien fait pour prendre des précautions, tenant compte des problèmes de santé et de bien-être des personnes, de tous les âges, parce que simplement ils sont guidés par les bénéfices qu’ils peuvent tirer.
Dans tous les cas, s’interrogeant sur le résultat de telles substances, des spécialistes australiens en neurosciences ont publié une étude, où ils disent avoir utilisé des mouches des fruits dans des tests avec des adoucissants. Leurs conclusions c’est que ces adoucissants réagissent dans le cerveau de ceux qui les ingèrent, en provoquant la sensation de faim et même l’idée qu’ils pourraient mourir de faim. Mais comment maigrir si à chaque fois qu’ils utilisent un adoucissant ils ont encore d’avantage faim ?
Le résultat de cette expérimentation mené par ces scientifiques, qui ont nourrit une certaine quantité de mouches avec du sucre et d’autres mouches avec les adoucissants, c’est que celles qui se sont nourries avec les adoucissants consomment 30% plus de calories que celles que se sont contentées de sucre. Et, afin de vérifier le premier résultat auquel ils sont arrivés, ils donnèrent ensuite des adoucissants coupés, aux mouches qui avaient consumé les adoucissants et le résultat c’est que les mouches s’arrêtèrent rapidement de se nourrir e dès lors la consommation de calories à baisser à nouveau. La conclusion ne s’est pas fait attendre : le fait de consumer des adoucissants fait augmenter la consommation de calories.
Et, pour mieux appréhender le comportement de ces mouches, ils ont activé leurs antennes sorte de récepteurs du goût. Plus elles avaient d’appétit, et plus ces fils d’antenne s’hérissaient. Surpris par cette trouvaille, les chercheurs ont vérifié que les mouches ayant mangé des adoucissants artificiels finissaient par avoir les antennes bien plus excitées que lorsqu’elles mangeaient du sucre. Ceci signifie que lorsqu’elles mangent des adoucissants, ces mouches sentent une envie croissante de manger et d’ingérer des calories. Mais dès qu’elles mangèrent du sucre le résultat fut l’envers. Leur activité électrique est, en effet, beaucoup plus importante dès qu’elles mangent des adoucissants.
Une autre expérience a consisté à téléguider les enzymes et les neurotransmetteurs des insectes afin de comprendre le mécanisme moléculaire qui était en action. Pendant cette phase expérimentale, ils ont aperçu que dès qu’elles ingéraient des adoucissants, cela réactivait le réseau neuronal qui établit la liaison lorsque les animaux sentent la faim. Il était, alors clair, pour eux que les adoucissants activent les neurones et même sans qu’ils fournissent une seule calorie, ils provoquent dans le corps beaucoup plus d’envie de manger. Et même si l’adoucissant ne faisait pas grossir, il agit de telle façon sur le système physiologique, que l’envie de manger ne cesse de croître.
Mais si cette étude a prouvé que les adoucissants font grossir, indirectement, cela ne veut pas dire que ce qui arrive avec les mouches des fruits, soit aussi valable avec les humains. Ceux-ci, à l’envers des mouches, sont capables de réprimer leurs impulsions, au moyen de leur raison. Mais les impulsions physiologiques, ne sont pas toujours contrôlés dans le bon sens du terme, et delà rien ne peut nous dire que nous soyons tous capables d’exercer le self contrôle, face à la forte envie du désir.
On en parle beaucoup (2) sur les diètes en vue de maigrir ou perdre de la graisse, mais on en parle bien moins sur la fonction de la graisse dans notre corps. Quelques systèmes d’amaigrissement proposent la non-ingestion de tout type de gras, mais abolir les divers aliments n’est jamais indiqué dans tous les cas. La graisse a des fonctions organiques, comme celles de maintenir un corps salutaire, en produisant des acides gras, le transport de vitamines dans l’ensemble du corps et la possibilité d’économiser des protéines, essentielles à certaines fonctions du mécanisme corporel.
Le gras, associé à des protéines e aux glucides, fait partie des trois ingrédients nutritifs responsables de l’apport de calories dans le corps, dans une moyenne au-dessus du double de celles fournies par les glucides et les protéines, par chaque gramme ingérée. Cette graisse ainsi concentrée se transforme rapidement en énergie dans le but d’alimenter le fonctionnement des cellules.
Formation de la graisse ?
Tous les ingrédients nutritifs que nous consommons à l’excès, se transforment immédiatement en graisse pour être emmagasinées dans notre corps, elles fonctionnent comme le principal dépôt de l’excès d’énergie alimentaire et préparent le corps à suppléer au manque d’énergie lorsque celui-ci n’est pas alimenté.
L’importance de la graisse dans le corps ?
De même que l’ingestion de glucides, l’utilisation de graisses en tant que combustible à pour fonction d’économiser des protéines dans notre physique, protéines qui sont ainsi d’avantage libérés pour exécuter des fonctions de synthèse et réparation des tissus. Si la graisse n’est pas présente, de même que les glucides, le corps utilisera la protéine productrice d’énergie, ceci aura pour conséquence la réduction de la masse musculaire la plus maigre.
Il faut noter, que la graisse fonctionne en tant que « protection » au tour de 4% de quantité, ce qui limite toute une série de réactions traumatiques dans les organes vitaux, le cœur, le foie, la rate, le cerveau, les reins et la moelle épinière. D’autant que la totalité de la graisse corporelle, déposée immédiatement sous la peau, à pour fonction d’agir en tant qu’isolation thermique, surtout dans les situations ou aux époques d’exposition au froid.
Principales fonctions de la graisse dans le corps
1° – L’isolement thermique,
2° – La transformation immédiate en énergie,
3° – L’économie de protéines,
4° – La fonction protectrice contre des éventuels traumatismes dans les organes vitaux.
Faut-il éviter totalement les graisses dans l’alimentation ?
Il faut savoir que les graisses dans le corps sont les responsables du transport de vitamines A, D, E, K. Les services diététiques rendus aux vitamines liposolubles, indiquées ci-dessus. Il faut faire attention, au fait que la réduction significative de cette graisse dans notre alimentation corporelle peut avoir pour effet de déclencher des maladies par manque de carence. La conclusion la plus équilibrée est celle qui accepte une certaine quantité de graisse nécessaire à la biologie corporelle.
Bibliographie
(1) Karlla Patricia (Biologa).
(2) Dieta e Beleza.Com